Les parcours labyrinthiques surgissent naturellement de la création de liens entre des éléments cohabitant sur la toile. Ils sont souvent curvilignes, ils prennent la forme de boucles ou d'arabesques, mais ils se manifestent également par des lignes droites et brisées. Ainsi naissent sur la toile des chemins plus ou moins tortueux qui invitent le regard à les suivre et qui évoquent, ou peuvent évoquer, le motif du labyrinthe, bien ancré dans l'inconscient collectif. Par moments c'est la dimensi1
Les parcours labyrinthiques surgissent naturellement de la création de liens entre des éléments cohabitant sur la toile. Ils sont souvent curvilignes, ils prennent la forme de boucles ou d'arabesques, mais ils se manifestent également par des lignes droites et brisées. Ainsi naissent sur la toile des chemins plus ou moins tortueux qui invitent le regard à les suivre et qui évoquent, ou peuvent évoquer, le motif du labyrinthe, bien ancré dans l'inconscient collectif.
Par moments c'est la dimension ludique qui est mise en avant, certaines œuvres évoquant des jeux de société très anciens comme le jeu de l'oie, ou alors un puzzle, pour reconstituer un labyrinthe, ce qui invite à percevoir également l'aspect léger de ces figures.
Stylisés et/ou ludiques, ces figures labyrinthiques sont susceptibles de faire allusion à la dimension symbolique du motif, d'ailleurs récurrent dans les arts et la peinture depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours.